Un homme assis dans une pièce sombre, il ne bougeait pas, ne semblait pas respirer et pourtant, il était assis sur une chaise, les mains à plat sur une table devant lui. C’est alors qu’une lumière plus qu’éblouissante vint le réveillé en sursaut. La personne cligna plusieurs fois des yeux histoire de s’habituer à son environnement, ses forces semblaient l'avoir quitter, son esprit embrumé surement du au parchemin accroché sur le dossier de la chaise. C’est alors qu’une deuxième personne apparu, un étrange sourire aux lèvres, il déclara
-J’ai besoin que tu sois bien réveillé…
A peine avait-t-il prononcé ces mots, qu’il pressa un pistolet à clou sur ses mains. D’un bruit caractéristique, l’engin se mit en marche et un cri de douleur s’en suivit. Le tortionnaire loin de se montrait désolé, déclara d’une voix teinté de plaisir
-c’est bon, là tu es bien réveillé ?
La jeune victime sentit la douleur parcourir ses nerfs d'une manière encore plus forte et pourtant, son corps ne voulait pas bouger. Visiblement, la pièce calfeutré afin qu’aucun rayons de soleil ne puissent filtrer. se trouvait isolé et attaché à un fauteuil de bureaux. Son destin entre les mains d’un inconnu qui visiblement n’avait rien d’équilibré. La victime se décida a parler d'une voix craintive et faible
-Que me voulez vous?
De nouveaux le tortionnaire lui sourit
-t'ai je déjà parler de la définition de la folie? …
le jeune homme ne comprit pas
-Tu vois avant de rentrer dans ce truc faut que je te dise quelque chose... tu vois, il était une fois, un garçon née dans un village pour le moins étrange. Mes parents servait une famille, un peu comme au temps du moyen age. Notre vie était rythmé par différent travaille et on en était récompensé... jusqu'au jour de mes 13 ans, où suivant une ancienne tradition mes parents m'ont envoyé avec le reste des deuxième née de chaque famille jusqu'à la maison de leur maîtres....
le garçon assis, ne comprit pas du tout de quoi cette homme parlait. Il se contentait de garder le silence. Dans ces cas là, en général la peur prends au ventre même pour les plus courageux. De plus, la douleur parcourait son corps. Un léger rire émana de l'inconnu qui continua son histoire
-... on était tous rassemblait, garçons, filles, tous ensemble dans une sorte de grand hall. Puis c'est alors que la maîtresse des lieux est arrivé, et ce que j'ai vu... a commencé à me faire voir des putains de choses. J'ai vu qu'elle et ses potes commençaient lentement a nous tailler les veines pour les recueillir dans un calice et le boire. C'était un putain de rituel chelou qui finissaient avec plusieurs enfant qui finissaient par se faire mordre. Mais visiblement, la femme ne nous touchaient pas.... puis après black out, je me souvenais de rien... mis à part ce putain de tatouage
l'ombre pointa du doigt le bras un peu ensanglanté du garçon, un dessin représentant une fleur de cerisier avait été gravé . La victime reprit un peu courage et répliqua avec un sourire
-Si tu sais ce qu'est ce tatouage, tu dois savoir que tu viens de te jeter dans un merdier sans fond. Libère moi et on en restera là...
le tortionnaire loin de trembler, alluma une lampe a UV qui éclairait les bras du malheureux. Ils se mirent à fumer et brûler légèrement sous les cris de douleur insoutenable de sa victime.
-écoute, ok je comprends que c'est pas forcément intéressant, mais... je n'aime pas qu'on m'interrompt.
Le bourreau fit quelques pas dans la pièce tournant autour de sa victime tout en déclarant
-Ok Ok , écoute j'aime pas la manière que tu me regarde, tu pense que je suis cinglé, va te faire foutre Ok VA... TE... FAIRE … FOUTRE....
d'un geste, il éteignit la petite lampe à U.V et continua
-Cette odeur, ça me rappelle ce qui s'est passé après.... à mon réveil, j'avais était recueilli par un vieux prêtre... les églises étant rare la où j'étais, ce fut un premier contacte assez étrange je l'avoue. J'ai été élevé différemment, le prêtre se montrait dur avec moi, me faisant entraîner sans relâche. Mais en plus de cela, mes capacité ou mes connaissance ne devait pas servir à faire de mal aux humains.... je ne comprenais pas pourquoi... mais j'ai grandi j'allais à l'école du village et la vie me plaisait, je ne voyais plus ces putains de choses,...
de nouveau il lâcha un rire et continua
-J'avais trouvé comme une sorte d'équilibre et même une amie... puis ces putains de chose ont recommencé...
il s’arrêta un moment avant de porter à ses lèvres un cachet qu'il croqua avant de légèrement frissonner
-Tu vois, c'est là ou je voulais en venir, la folie nous fait voir ces putains de choses encore et encore et encore... et on s’attend à ce qu'elle change.... tu vois on se dit, cette fois ça sera différent. Non mais cette fois, ça sera différent.... c'est fou non...
c'est alors qu'il s'appuya sur le bureau regardant sa victime droit dans les yeux. Et pointa un doigt sur sa tempe en souriant
-je t'avoue , que la fois où un mec m'a sortie ça, je me suis dit c'est quoi ces conneries alors je lui ai tiré une balle dans la tête...
puis il se redressa
-Nan mais franchement, arrête de me regarder comme ça...
et de nouveau, il alluma la lampe à U.V et l’éteignit quelques instant après
-tu as vraiment un putain de problème, tu pense que je ment...
Puis il sembla retrouvé son calme
-Ok ok, désolé, je vais te rafraîchir la mémoire hum … je disais donc que ces putains de choses ont recommencés, un soir, alors que j'étais au village avec le prêtre, une femme est arrivé, elle m'accusait de l'avoir amputait d'un bras. Dès lors, quelques villageois nous ont attaqué, mon amie aussi, je n'en revenais pas. Le prêtre et moi, on s'est défendu... en même temps, dans ce genre de situation, on se défends hum... puis la tête du prêtre roula à terre... il fut troublé que mon amie l'attaqua, j'ai donc tué mon amie. À la fin, cette femme me dit de nouveau que c'était de ma faute, que ces putains de choses qui s'était produite, c'était ma faute. Depuis, mon amie n'arrête pas de me hurler de tuer, j'entends sa voix, elle ne s’arrête pas....
puis il se plaça derrière sa victime, d'un geste, il sortit une dague qu'il plaça devant ses yeux.
-Tu vois, c'est tout ce qui me reste du prêtre, c'est ce qui est ressortit une fois qu'on lui a mis le feu... le fait est que je t'ai déjà tué, et tu es de retour... alors me sort pas que c'est moi qui suis taré d'accord...
il se déplaça une nouvelle fois à coté et continua
-Alors maintenant, je veux que tu me dise où la femme de ce tatouage se trouve... et j’arrêterais de faire ces putains de choses...
la victime se trouvait dans un état de fatigue mental extrême, la douleur du au brûlure lui aurait fait dire n'importe quoi. Mais visiblement, que cela soit vrai ou non, son bourreau lui semblait se réjouir à l'avance de ce qu'il ferait s'il lui mentait. La victime sanglotait un peu, elle ne voulait plus souffrir ceci était un fait et en larme, elle déclara
-Elle se dirige... en Europe.... avec … les plus forts de son clan...
d'un geste rapide, le sociopathe lui trancha les mains. Les cris redoublèrent d'intensité, la victime de nouveau supplia
-Arrêtez ça... pitié...je vous jure ...que c'est la vérité... arrêtez... je vous en prie...
écartant la table, le Hunter le regarda dans les yeux d'un air sérieux, il lui déclara a nouveau
-Je te crois...
il posa son pied sur le torse du jeune homme avant d'ajouter
-Mais ça ne te sauvera pas
et d'un coup de pied puissant, il le précipita dehors où il se mit à s'embraser sous les rayons du soleil. Puis s'approchant du cadavre il ajouta
-Au fait, est ce que je t'ai déjà parlé de la définition de la folie ?